Choisir une bouteille de vin : 4 erreurs à éviter

du cognac chez un caviste à angoulême

Choisir une ou plusieurs bouteilles de vin à acheter n’est pas une opération simple. Elle exige une réflexion minutieuse et une évaluation précise de plusieurs aspects : du type de vin aux caractéristiques des différentes étiquettes, du producteur au fournisseur, sans oublier le but de l’achat (cadeau, repas, collection…). Les variables tendent presque vers l’infini.

Ce qui est sûr, c’est qu’il y a des erreurs à ne pas commettre pour ne pas regretter le choix et l’achat. Voici les 4 plus courantes et des conseils pour les éviter.

1.Ne vous arrêtez pas au blason du fabricant.

L’une des erreurs les plus fréquentes lors du choix d’un vin à acheter est de se fier uniquement et exclusivement au blason d’une « marque » ou à la renommée d’un producteur. Notre conseil est d’approfondir, de passer du temps sur la sélection, de récupérer des informations sur les différentes caractéristiques des bouteilles, sans s’arrêter à l’apparence ou aux ouï-dire. En cas de doute, il faut se renseigner sur la bouteille du vin ou du cognac chez un caviste à Angoulême ou ailleurs.

2.Ne vous arrêtez pas à l’esthétique de l’étiquette

Une autre erreur courante, surtout pour les moins expérimentés, est de baser l’achat ou de se laisser conditionner par la beauté de l’étiquette, avec toutes ses couleurs, ses formes et ses dessins qui sont souvent de véritables œuvres d’art. Bien sûr, on pourrait dire que l’œil veut aussi sa part, mais, en réalité, ce qui compte avant tout, c’est le contenu de la bouteille. Là encore, ce que nous avons écrit précédemment s’applique : mieux vaut ne pas s’arrêter aux apparences et approfondir la question. En plus d’admirer l’étiquette, il faut essayer de la comprendre.

3.Ne vous arrêtez pas à la dénomination

Les appellations françaises sont un outil valable pour protéger et garantir la qualité et, surtout, la typicité d’un vin. Lors du choix d’une bouteille, ce paramètre peut certainement vous guider dans votre achat. Mais attention : ne pas faire partie d’une dénomination n’est pas automatiquement synonyme de mauvaise qualité. Dans certains cas, c’est possible, mais pas toujours.

Parfois, le producteur veut conserver une méthode de production qui le distingue, différente de celle prévue par les différents cahiers des charges, mais qui garantit néanmoins des résultats qualitatifs. C’est pourquoi nous insistons sur la nécessité de connaître un vin : connaître le producteur, son histoire, ses techniques et les différentes caractéristiques du produit individuel.

4.Ne vous arrêtez pas au prix

Parmi les nombreuses choses à ne pas faire, nous ne pouvons manquer de mentionner « ne pas s’arrêter au prix ». Une autre erreur assez courante consiste à associer le prix à la qualité : prix élevé – haute qualité ; prix bas – basse qualité. Un vin cher n’est pas nécessairement meilleur qu’un vin légèrement moins cher. Comme pour tout produit, le prix d’un vin ne comprend pas seulement les coûts de production et les coûts liés à la qualité des matières premières, mais aussi les questions liées à la marque. Bien sûr, méfiez-vous et évitez également les vins au coût dérisoire.